Biographie
„Aimer quelque chose, c’est comme si l’on veut qu’elle vive. " Confucius
La prespective de la vie unique et irrépétable est juste symbolique, le moment irrenouvelable focalisé dans un point sur la surface bi-dimensionnelle.
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Comme une empreinte, le battement de cœur de l’amour éternel qui éclos de l’arričre-fond de nuance obscure. C’est le moment qui tire jusqu’ŕ l’extremité sur le plan sentimental et physique.
Le fragment des secondes insaisissables qui anticipent l’éclatement dans le monde de l’univers organique et imaginaire.
L’existence humaine est comme la goutte de rosée dans le pétale d’une fleur, qui disparaît complčtement au levé du soleil.
Aprčs la respiration suivant rien ne reste comme avant, tout se change définitivement et irrevocablement.
Les doigt féminins tenant le pinceau avec sensualité libidineuse se livrent au modčle intérieur « non-conformiste ». Se diluant avec automatisme instinctif dans le monde paradoxalment fermé de la liberté sans bords.Les symboles archaďques recomposés obéissent aux lois naturelles. La toile est la question des relations humaines en retour matérialisé permanent, la force cohésive de l’amour. Tu es bon, si tu es aimé par les autres, et si tu es proche d’eux ?
La reproduction illustrée du phantasme abstrait et élégamment grandiose se dissoud dans un érotisme intime et dynamique sur les toiles de Éva E. Szabó.
Elle est d’abord une femme sensible, elle ne fait pas de politique, elle crée la paix et l’amour dans un monde perçu avec six organes sensoriels.
Avec sa ligne, ses formes, ses couleurs, son charme personnel, sa vie assidue et exemplaire elle ajoute un tout petit morceau au micracle qui nous environne.
Depuis plus de 12 ans elle se sent inspirée pour partager avec les autres dans le miroir de ses peintures, au-delŕ son auto-expression de ses idées, ses sentiments, ses expériences de la vie. Dans son enfance elle a reçu des influences de l’atmosphčre d’Etyek, la petite commune évoquée avec nostalgie dans le conté Fejér. Elle a vécu les fourmillantes et vibrantes années 70 peace and love comme abolescente, elle s’est identifiée par toute sa personnalité avec l’idéologie children of the flower. En tant qu' adulte elle est mčre affectueuse des deux enfants. Puis vient une période métamorphique, créant des nouveau ordre de valeur, introspectif de sa vie, un nouvel horizon ouvre sa porte.
Les anciens ręves qu’on a pensé et déja oublié se retournent. Elle commence ŕ créer. Au départ comme autodidacte, avec le temps elle recevait des encouragements, des conseils, des aides des peintres expérimentés. Essayant plusieurs matériels et techniques elle trouve rapidement sa direction.
Conservant l’expérience de la sensation physique avec le matériel elle monte les couleurs manuellement sur la toile.
Elle écrit souvent des poésie accompagnant ses peintures.
Citation de sa poésie « Mirage des couleurs " (Színvarázs) :
"Je peins mes ręves, je peins vos yeux,
Dans lesquels je vois vos esprits comme des miroirs colorés
Je peins ma vie, ma joie et ma peine de cœur,
Me cherchant moi-męme, marchant sur ma route.
Si seulement le mirage des couleurs ne partait jamais,
Dans lequel mon esprit trouve le calme éternel."
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